Mwendwa Marchand suivi d’Hervé Koubi
02.12.25 - 04.12.25 |
6 rue Juliette Récamier, 75007 Paris |
02.12.25 - 04.12.25 |
6 rue Juliette Récamier, 75007 Paris |
En première partie de soirée, Mwendwa Marchand propose une performance organique et incisive, ancrée dans la culture dancehall. Une discussion à trois corps qui questionne la trace de la pratique extérieure de la danse. Ensuite, Hervé Koubi illustre métaphoriquement la découverte tardive de ses origines algériennes. Les quatorze danseurs évoluent dans un décor qui oscille entre lumière et obscurité, secret et évidence, enfermement et libération.
Début des représentations 19h15. Nous vous conseillons d’arriver 15 min avant le début de la représentation.
Chaque billet donne accès à l’exposition en visite libre après les performances de danse.
Chorégraphie : Mwendwa Marchand et Carl Dhelot
Interprètes : Carl Dhélot, Dhéiti Akato, Mwendwa Marchand
Curation : Saïdo Lehlouh
Out/Side est une performance organique et incisive ancrée dans la culture dancehall. Les trois interprètes naviguent dans différentes sensations et textures de corps dans le but de questionner ce que la pratique extérieure du mouvement peut laisser comme empreinte sur la créativité, l’ouverture du corps et de l’esprit.
&
Chorégraphe : Hervé Koubi
Assistant : Fayçal Hamlat
Danseurs : Badr Benr Guibi, Giacomo Buffoni, Mohammed Elhilali, Youssef El Kanfoudi, Abdelghani Ferradji, Oualid Guennoun, Vladimir Gruev, Islam Kunakkulov, Bendehiba Maamar, Nadjib Meherhera, Houssni Mijem, Ismail Oubbajaddi, Ayoub Rouifi, El Houssaini Zahid
Musique : Maxime Bodson, Hamza El Din — Kronos Quartet, Jean-Sébastien Bach, Musique traditionnelle Soufi
Arrangements : Guillaume Gabriel
Création lumière : Lionel Buzonie
Costumes : Guillaume Gabriel
Durée : 1h — à partir de 7 ans
Avec Ce que le jour doit à la nuit, Hervé Koubi transforme la découverte tardive de ses origines algériennes en un voyage chorégraphique puissant. Quatorze danseurs y mêlent hip-hop et danse contemporaine. Leurs mouvements amples, portés par de longues jupes blanches, dessinent sur scène un jeu d’ombres et de lumière, évoquant une Méditerranée faite d’histoires croisées et de liens invisibles.
La lumière évolue à mesure que la pièce progresse, passant de l’obscurité à une clarté éclatante, comme une métaphore de la révélation, du secret à l’évidence, de l’enfermement à la libération. La lumière n’est jamais un simple décor, elle porte le geste chorégraphique, le prolonge, l’amplifie et lui donne une résonance nouvelle. Elle est mémoire, émotion, structure, langage, invitation à la rêverie