In the mood for light, Marion Motin et Entropie, Léo Lérus par le CNSMDP
22.01.25 - 23.01.25 |
6 rue Juliette Récamier, 75007 Paris |
22.01.25 - 23.01.25 |
6 rue Juliette Récamier, 75007 Paris |
Mercredi 22 et jeudi 23 janvier 2025
Une soirée éclairée par deux performances captivantes : In the Mood for Light, où Marion Motin explore les profondeurs de l’âme à travers une quête de lumière intérieure, accompagnée de la musique live d’Aelred Nils ; et Entropie de Léo Lérus, réinterprétée par les étudiants du Conservatoire Nationale Supérieur de Musique et de la Danse.
Début des performances 19h. Nous vous conseillons d’arriver 15 min avant le début de la représentation.
Chaque billet donne accès à l’exposition en visite libre après les performances de danse.
Durée du programme danse : 1h
In the mood for light
Chorégraphe et interprète : Marion Motin
Musique live : Aelred Nils
La nuit, les rêves intenses et chargés. Les cauchemars parfois.
Je cherche la lumière mais celle qui vient de mes entrailles. La poussière brillante que la lune a laissée sur mes côtes. J’ouvre mes cellules au grand, à l’infiniment plus grand, elles qui sont infiniment petites… Je suis le temps que je n’ai pas, je m’installe, en moi, dans l’obscurité en attendant le jour.
Marion Motin
&
Entropie
Chorégraphes : Léo Lérus, reprise pour le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP)
Interprètes : Etudiants en M1 de l’Ensemble Chorégraphique: Juliette Peyronnaud, Haritina Razanajatovo, Antonin Alzieu, Lucie Blank, Noan Colin, Brune de Guardia de Ponte, Jeanne Fohr, Timothé Guyot, Sofiya-Nikol Katerynchuk, Maël Maréchal et Malia Pouponot
Concept musical : Léo Lérus et Gilbert Nouno
Dispositifs interactifs sonores et lumières : Gilbert Nouno
Costumes : Inspirés des costumes originaux de Ingrid Denise réalisés par l’atelier costumes du Conservatoire de Paris
Entropie tient une place importante dans l’œuvre de Léo Lérus car elle émerge de la recherche du chorégraphe sur le développement d’une conscience, une connaissance, une signature, et des outils en tant que créateur guadeloupéen dans le monde de la danse contemporaine. La chorégraphie prend racine dans les recherches de François Roddier sur la thermo-bio-sociologie, et explore les phénomènes de système, d’énergie, de rupture d’équilibre, d’ordre et de chaos.
En tant qu’artiste chorégraphique, Léo Lérus vise une danse contemporaine directement liée à la musicalité et à la physicalité que l’on trouve dans le Gwo-Ka et dans d’autres danses caribéennes, et reprend des sujets et des thématiques du Léwòz, du carnaval, et de l’identité guadeloupéenne. Elle s’inscrit dans la continuité de travaux d’autres artistes travaillant depuis la culture guadeloupéenne, et par cela, elle contribue à l’essor de la danse contemporaine en Guadeloupe et au-delà. Elle se nourrit également de riches et diverses collaborations à l’international et d’une volonté de s’emparer des nouvelles technologies.