In the mood for light, Marion Motin et Impulsion, Jann Gallois

29.01.25 |

6 rue Juliette Récamier, 75007 Paris |

Mercredi 29 janvier

Deux créations lumineuses pour une soirée inoubliable : In the Mood for Light de Marion Motin, une quête intime où la chorégraphe explore la lumière intérieure à travers ses rêves nocturnes, accompagnée en live par Aelred Nils ; et Impulsion de Jann Gallois, spécialement conçue pour la saison « Dans(e) la lumière », qui interroge la relation entre corps et esprit dans une performance à la gestuelle radicale et sensible.

Début des performances 19h. Nous vous conseillons d’arriver 15 min avant le début de la représentation.

Chaque billet donne accès à l’exposition en visite libre après les performances de danse.

Durée du programme danse : 1h

In the mood for light

Chorégraphe et interprète : Marion Motin

Musique live : Aelred Nils

La nuit, les rêves intenses et chargés. Les cauchemars parfois.

Je cherche la lumière mais celle qui vient de mes entrailles. La poussière brillante que la lune a laissée sur mes côtes. J’ouvre mes cellules au grand, à l’infiniment plus grand, elles qui sont infiniment petites… Je suis le temps que je n’ai pas, je m’installe, en moi, dans l’obscurité en attendant le jour.

Marion Motin

Impulsion

Chorégraphie, interprétation et costume : Jann Gallois

Création musicale : Patrick De Oliveira

Production : Cie BurnOut

Coproduction : Fondation Groupe EDF

Accueil en résidence : Les Quinconces-L’Espal, Scène nationale du Mans

Quand savons-nous si nous sommes enfin humain.e.s?

Créée spécialement pour la première saison «Dans(e) la lumière» au sein de la Fondation groupe EDF, Impulsion est une invitation à explorer l’union comme la dissociation du corps et de l’esprit. Jann Gallois développe ici une gestuelle radicale et singulière fouillant toujours plus profondément la beauté de l’anatomie humaine. Plaçant son corps dans des dimensions inorganiques extrêmes, la chorégraphe partage une intériorité complexe, aussi rationnelle qu’absurde et pourtant profondément sensible. De l’automate dysfonctionnel à la poupée de chiffon, Jann Gallois creuse volontairement ce vide intérieur pour en faire jaillir une lumière à la fois singulière et universelle, ce besoin de transcendance si caractéristique de la nature humaine.