Mercredi 4 et jeudi 5 décembre
Une soirée composée de deux spectacles. Mandala de Carolyn Carlson, interprété par Sara Orselli suivi de Vivace, une création d’Alban Richard avec Anthony Barreri et Constance Diard. Mandala fascine par son rythme hypnotique sur la musique de Michael Gordon, tandis que Vivace propose un voyage musical dynamique mêlant des extraits allant du baroque à la pop, sous une chorégraphie enjouée et surprenante.
Début des performances 19h. Nous vous conseillons d’arriver 15 min avant le début de la représentation.
Chaque billet donne accès à l’exposition en visite libre après les performances de danse.
Durée du programme danse : 1h
Mandala
Chorégraphe : Carolyn Carlson
Interprète : Sara Orselli
Ce solo créé spécialement pour Sara Orselli par Carolyn Carlson en 2010 représente l’aboutissement de leur complicité nouée depuis plus de 20 ans. Inspiré de l’enso, le cercle du bouddhisme zen, qui symbolise à la fois l’univers et le geste artistique parfait, Mandala fascine le spectateur par son rythme hypnotique sur la musique puissante de Michael Gordon. Évoluant dans un cercle de lumière, prise dans une ronde comme dans une transe méditative, Sara passe par différentes phases plus ou moins exaltées et incarne tantôt la vitalité, tantôt la divinité, tantôt l’air, tantôt la terre. Un cœur qui bat, qui propulse la vie dans un corps qui à son tour ondule, virevolte.
&
Vivace
Chorégraphe : Alban Richard—collection tout-terrain du CCN de Caen en Normandie
Interprètes : Anthony Barreri et Constance Diard
Musique : Playlist d’extraits de musique allant du baroque à la pop, des musiques traditionnelles à la musique électro et dont la pulsation varie de 132 à 170 battements par minute
Production déléguée : Centre chorégraphique national de Caen en Normandie
Coproduction : Département de la Manche
Avec le soutien de la communauté d’agglomération Mont-Saint-Michel — Normandie
Avec entrain! Cela commence par un Madison, petite danse en ligne et enjouée, star des dancefloors. Mais Vivace saura ensuite nous surprendre: en appui sur des musiques aussi bien pop, baroques, qu’électro aux rythmes toujours très enlevés, la chorégraphie se déploie dans un étonnant voyage musical et gestuel.
